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Solène Lossois

Solène Lossois

« Faut fouiller, mais il y a de quoi trouver ! »

C’est à 4 ans que Solène fit ses premiers pas sur scène en tant que danseuse. Art qu’elle pratique encore aujourd’hui, mais depuis ses 8 ans, c’est la comédie qui occupe une grande partie de sa vie. À travers des clubs du collège, au lycée, depuis que le théâtre est entré dans sa vie, elle s’y adonne sans modération.

Dernière année du secondaire ; pour son futur, il était temps de se décider. Mais du haut de toutes ses idées, impossible de savoir ce à quoi elle était destinée. C’était sans compter sur sa mère, qui ne lui laissa pas l’occasion de douter. Le théâtre est ce que sa fille voulait faire et elle n’a su que l’encourager. Originaire de Toulouse, la comédienne s’en est alors allée. Un stage réussi au Cours Florent qui lui aura permis l’entrée. 3 ans de formation qu’elle aura complété d’une licence Art du spectacle ; le temps de totalement se trouver.

Marquée par une mise en scène de Macbeth par Laurent Pelly, Solène a aujourd’hui conscience de tout ce que le théâtre lui apporte et n’aura de cesse de lui apporter. Du réconfort. Un lieu de vie au sein duquel elle peut exister. Telle qu’elle est ; sans se cacher.  Et le public ne fait que consolider cet amour pour la scène qu’elle est ravie de partager. Adepte des personnages originaux, Solène aime jouer la folie. On ne parle pas ici d’une folie intérieure ; de celle qui fait du mal. Mais de cette folie propre aux libres d’esprit. Celle qui n’a pas peur d’être montrée ; qui peut sembler bizarre. Celle dont on ne sait pas toujours quoi penser.

Protégée par cette carapace construite sur toute une vie, Solène parvient à en faire sauter les couches année après année. Et pour celles à venir, elle ne se voit que vivre son rêve. Elle aura lâché d’ici là les quelques boulots lui permettant de survivre, pour totalement se consacrer au bonheur de jouer. Et elle espère bien être encore entourée de cette même troupe ; La Kyrielle : de grands projets prévus, pour elle et pour ceux y contribuant.
Voyant la vie comme un moyen de créer sa propre histoire, Solène continue d’écrire la sienne. Une fois les fidèles compagnons trouvés, il ne suffit que de se lancer. Jouer partout ; tout le temps ; c’est ça son futur. Des scènes à perte de vu dans des théâtres toujours plus grands. Un futur qu’elle sait possible depuis sa passion apparue. Un futur auquel elle pourra dire que dès le début, elle aura cru